A l’image de tous les pays développés, le Canada voit déferler cette nouvelle tendance mondiale qu’est le tourisme médical. Les autorités canadiennes ne cessent d’alerter leurs ressortissants en les dissuadant de se rendre à l’étranger pour se soigner ou réaliser des opérations de chirurgie esthétique. Ce sont pourtant ces mêmes autorités qui ne cessent d’augmenter les couts des services de soins médicaux en les rendant de plus en plus inaccessibles pour certaines catégories sociaux économiques.
Le gouvernement fédéral ne peut avouer l’échec de sa politique pour réduire les délais d’attente
Avec les fêtes de fin d’année et les congés vient le temps de programmer ses vacances et envisager des réunions familiales ou des séjours au ski. Pour d’autres ça sera une combinaison de farniente et de soins médicaux dans un pays étranger. Ce genre de séjours ont fortement augmenté depuis de nombreuses années et les canadiens n’y échappent pas. Motivés par des prix beaucoup plus accessibles et par des délais d’attente rébarbatifs dans leur pays, les citoyens canadiens se ruent sur les agences spécialisées et sont prêts à s’envoler dans de lointaines contrées. Même s’ils sont extrêmement fiers de leur système de santé, les canadiens vous diront que les délais d’attente pour bénéficier de soins de base sont indignes d’une des nations les plus riches du monde.
Dans de nombreuses provinces, le délai d’attente moyen pour une simple IRM est d’environ 9 mois et il faut patienter, au minimum, deux années complètes pour bénéficier d’une reconstruction mammaire. Les autorités canadiennes avancent les risques de complications à l’étranger pour défendre leur politique sanitaire et les différents budgets affectés pour réduire les délais d’attentes dans les établissements hospitaliers. Mais c’est complications supposées sont trop peu nombreuses pour être comparées avec les sommes colossales investies par le gouvernement fédéral qui ne peut avouer l’échec de sa politique.
Chaque année, 100 000 canadiens se rendent à l’étranger pour bénéficier de soins
N’importe quel malade vous le dira : le temps manque. Les canadiens se ruent donc sur les nouveaux paradis de la santé que sont les Costa-Rica, la Malaisie ou encore la Tunisie. Ce dernier pays fait figure d’exemple et de modèle pour de nombreuses nations lorgnant sur une manne financière considérable. La Tunisie, depuis son indépendance, a toujours bénéficié d’un système de santé ultra performant avec des médecins de qualité. Ce niveau et cette qualité de soins ont été mis à contribution par les pays voisins de la Tunisie bien avant le développement du tourisme médical. Les choses se sont faites donc naturellement pour la Tunisie qui avait les structures, les infrastructures et les ressources humaines pour se lancer dans les séjours de tourisme médical. C’est ainsi que des agences de tourisme médical, ayant pignon sur rue et jouissant d’une certaine notoriété ont mises en place des séjours all-inclusive pour des opérations de chirurgie esthétique mais aussi bariatrique et dentaires.
A l’image de Medespoir, agence de tourisme médicale leader en Tunisie qui, pour répondre à l’afflux de demandes de devis en provenance d’Amérique du Nord, a décider de mettre en place une structure dédiée à cette patientèle spécifique. C’est donc tout naturellement que Medespoir Canada a vu le jour à l’image des autres agences du groupe présentes dans de nombreux pays européens. Medespoir Canada est prête à répondre aux demandes des 100 000 canadiens qui se rendent à l’étranger pour bénéficier de soins.